Le citoyen
Le citoyen qui tente d’influencer, pour son propre compte, un élu ou un fonctionnaire concernant une décision législative, réglementaire ou administrative n’est pas un lobbyiste. C’est le cas, par exemple, d’un citoyen qui fait des communications d’influence auprès de sa municipalité pour obtenir un permis de construction pour ses rénovations résidentielles.
Mais attention!
Lorsqu’un entrepreneur d’une municipalité communique avec un élu ou un fonctionnaire pour tenter d’influencer une décision concernant son entreprise, la Loi s’applique et il doit s’inscrire à Carrefour Lobby Québec.
La taille ou le chiffre d’affaires de son entreprise n’a pas d’importance. Le même raisonnement est valable pour la personne qui exerce des communications d’influence auprès d’un élu ou d’un fonctionnaire pour le compte d’un client ou d’une organisation.
Le représentant de certaines organisations à but non lucratif
Cependant, le représentant d’une organisation à but non lucratif constituée à des fins patronales, syndicales ou professionnelles ou encore majoritairement constituée d’entreprises à but lucratif ou de représentants de telles entreprises est assujetti à la Loi.
Consulter le tableau synoptique des OBNL